Hey! Ca faisait un bail.
Depuis quelques temps, j'ai une légère baisse d'inspiration pour mes nouvelles, sur "Gare-aux-maux". Sur ce blog aussi, les sujets peinent à se développer.
J'ai également tendance à parfois, être prise d'angoisses au creux du ventre. C'est toujours comme ça, lorsque mon avenir est incertain. Pourtant, je pense avoir trouvé une méthode pour relâcher la pression, lorsque le spleen commence à me tenailler.
En fait, je me suis mise à l'écriture automatique. C'est un mode d'écriture où n'intervient ni la conscience, ni la volonté. C'est une méthode servant en théorie à stimuler la créativité, à vanner les barrières psychologiques. Je ne sais pas si je l'utilise correctement, il y a un réel apprentissage à cette pratique, mais personnellement, je m'en sers surtout pour vider le trop-plein de mon esprit. Lorsque je me lance, j'ai juste l'impression de vidanger mon subconscient, de museler les idées noires.
Je vais vous partager quelques productions, parce que trouve ça assez amusant à relire par la suite, on peut essayer d'y trouver un sens, même si, à l'origine, il n'y en a aucun:
Depuis quelques temps, j'ai une légère baisse d'inspiration pour mes nouvelles, sur "Gare-aux-maux". Sur ce blog aussi, les sujets peinent à se développer.
J'ai également tendance à parfois, être prise d'angoisses au creux du ventre. C'est toujours comme ça, lorsque mon avenir est incertain. Pourtant, je pense avoir trouvé une méthode pour relâcher la pression, lorsque le spleen commence à me tenailler.
En fait, je me suis mise à l'écriture automatique. C'est un mode d'écriture où n'intervient ni la conscience, ni la volonté. C'est une méthode servant en théorie à stimuler la créativité, à vanner les barrières psychologiques. Je ne sais pas si je l'utilise correctement, il y a un réel apprentissage à cette pratique, mais personnellement, je m'en sers surtout pour vider le trop-plein de mon esprit. Lorsque je me lance, j'ai juste l'impression de vidanger mon subconscient, de museler les idées noires.
Je vais vous partager quelques productions, parce que trouve ça assez amusant à relire par la suite, on peut essayer d'y trouver un sens, même si, à l'origine, il n'y en a aucun:
Un jour viendra où la vie nous apprendra à concilier le bon du vrai au sein des méandres de nos certitudes. L’histoire de la passion nous amène à voyager entre les lignes de nos rêves marchants. Ainsi vont nos vies les plus folles.
C’est la que commence le chant de nos angoisses, dans la solitude irréelle du petit matin. Un jour viendra où la peur intrinsèque à l’espoir nous fera avancer loin du rivage. La plume s’envole tandis que les joies et les espérances s’en vont retourner les pierres.
Les questions fusent dans la distorsion de notre esprit fonceur. Si un jour prochain notre vie s’inhibe doucement, nous irons dans le bois. C’est comme ça. La volonté de faire la ronde du cheminement infini nous prouve à nous-même notre histoire sacrée.
La recherche du faux n’est en soi pas une conséquence à l’errance. Doucement tu avances dans la série d’utopies intérieures qui t’amène à la consécration du rien.
Je m’en vais vivre aux tréfonds de mon imagination perdue. Immanquablement, je m’égare au fil des envies. Si c’est ainsi qu’il faut faire face, j’accepte à la condition que le bonheur soit à deux pas d’ici.
Avance petit à petit jusqu’à la frontière. L’évolution a un prix, celui de la consécration. Vis comme si les étoiles n’éclataient pas.
C’est là que mène la décadence des irréalités. Jusqu’à ce que le bien nous fasse face, n’imagine que les imprégnations possibles.
J’aimerais monter dans les abysses du soleil. C’est là que mon regard se porte lorsqu’il ne voit pas trouble. Si vraiment la clé trouve sa destination, alors seulement la vie s’épanouira.
C’est ainsi qu’on s’élève, tout au long de la rive. Dis-moi où tu vas, et je ne m’en irai pas. Les claquements chuchotent l’espoir à portée de mains. Demain, tout ira bien.
C’est la que commence le chant de nos angoisses, dans la solitude irréelle du petit matin. Un jour viendra où la peur intrinsèque à l’espoir nous fera avancer loin du rivage. La plume s’envole tandis que les joies et les espérances s’en vont retourner les pierres.
Les questions fusent dans la distorsion de notre esprit fonceur. Si un jour prochain notre vie s’inhibe doucement, nous irons dans le bois. C’est comme ça. La volonté de faire la ronde du cheminement infini nous prouve à nous-même notre histoire sacrée.
La recherche du faux n’est en soi pas une conséquence à l’errance. Doucement tu avances dans la série d’utopies intérieures qui t’amène à la consécration du rien.
Je m’en vais vivre aux tréfonds de mon imagination perdue. Immanquablement, je m’égare au fil des envies. Si c’est ainsi qu’il faut faire face, j’accepte à la condition que le bonheur soit à deux pas d’ici.
Avance petit à petit jusqu’à la frontière. L’évolution a un prix, celui de la consécration. Vis comme si les étoiles n’éclataient pas.
C’est là que mène la décadence des irréalités. Jusqu’à ce que le bien nous fasse face, n’imagine que les imprégnations possibles.
J’aimerais monter dans les abysses du soleil. C’est là que mon regard se porte lorsqu’il ne voit pas trouble. Si vraiment la clé trouve sa destination, alors seulement la vie s’épanouira.
C’est ainsi qu’on s’élève, tout au long de la rive. Dis-moi où tu vas, et je ne m’en irai pas. Les claquements chuchotent l’espoir à portée de mains. Demain, tout ira bien.
Je vous conseille grandement de vous y mettre, je trouve que ça fait un bien fou!