. . . Pas rétinienne hein!
Pardon, c'était nul.
Aujourd'hui, on entre dans un sujet personnel. Enfin, personnel... disons qu'on va parler de mon esprit dérangé.
(Je me rend compte que la rubrique du mardi me sert vraiment de fourre-tout, de bordel intersidéral...)
En ce jour, je m'ennuie, je ne sais pas quoi faire, et je décide de relire pour la... Quatrième, cinquième fois? "Embrassez-moi" de Katherine Pancol.
Je l'ai terminé il n'y a pas trois mois.
Je me souviens parfaitement de la structure, la fin.
J'ai souligné des passages, je les connais encore par cœur.
Mais je ne sais pas, j'ai envie de me replonger dedans de nouveau.
Et c'est comme ça tout le temps, pour tout. Je ne compte plus le nombre de fois où j'ai lu certains bouquins, où j'ai vu certains films, où j'ai écouté certaines musiques. Je suis ce genre de fille qui n'en a jamais marre de répéter les mêmes phrases, les même bêtises, les mêmes répliques à longueur de journées. Qui rit encore en regardant mille fois les mêmes vidéos, avant même de voir les passages marrants. J'aime relire les mêmes livres un nombre incalculable de fois, les mêmes phrases soulignées, comme si elles faisaient partie de moi. Je suis celle qui écoute une seule même chanson une soirée entière, jusqu'à ce que chaque note soit encrée dans mon cerveau. Et bon sang, j'aime la routine. J'aime que les choses soient toujours pareilles, encore et encore.
En fait, le problème, si on peut appeler ça un problème, vient du fait que je ne me lasse jamais de rien. Quand on y pense, c'est pas trop dérangeant, au contraire. Mais le soucis vient du fait que, justement, je hais les changements, je préfère le connu plutôt que la nouveauté. Je ne me sens rassurée que dans ce que je connais par cœur. J'ai un mal fou à m'adapter aux nouvelles situations, à me sentir à l'aise avec de nouvelles personnes, ou des gens que je ne vois pas très souvent. Parce que oui, ça concerne aussi mes relations avec le monde qui m'entoure. Jow est barricadée dans une coquille et a toujours du mal à s'en extraire. Timidité, difficultés sociales, je sais pas trop comment appeler ça, mais bon, c'est déjà bien de mettre des mots dessus.
Un jour peut-être, ça changera. Même si je ne compte pas trop là dessus. C'est déjà dur d'appréhender les changements extérieurs, alors si ça me concerne en plus, faut pas rêver!
Sinon, rassure-moi, ne te sens-tu pas un tant soit peu concerné par cet article ? Silyouplé?
A jeudi!
(Je me rend compte que la rubrique du mardi me sert vraiment de fourre-tout, de bordel intersidéral...)
En ce jour, je m'ennuie, je ne sais pas quoi faire, et je décide de relire pour la... Quatrième, cinquième fois? "Embrassez-moi" de Katherine Pancol.
Je l'ai terminé il n'y a pas trois mois.
Je me souviens parfaitement de la structure, la fin.
J'ai souligné des passages, je les connais encore par cœur.
Mais je ne sais pas, j'ai envie de me replonger dedans de nouveau.
Et c'est comme ça tout le temps, pour tout. Je ne compte plus le nombre de fois où j'ai lu certains bouquins, où j'ai vu certains films, où j'ai écouté certaines musiques. Je suis ce genre de fille qui n'en a jamais marre de répéter les mêmes phrases, les même bêtises, les mêmes répliques à longueur de journées. Qui rit encore en regardant mille fois les mêmes vidéos, avant même de voir les passages marrants. J'aime relire les mêmes livres un nombre incalculable de fois, les mêmes phrases soulignées, comme si elles faisaient partie de moi. Je suis celle qui écoute une seule même chanson une soirée entière, jusqu'à ce que chaque note soit encrée dans mon cerveau. Et bon sang, j'aime la routine. J'aime que les choses soient toujours pareilles, encore et encore.
En fait, le problème, si on peut appeler ça un problème, vient du fait que je ne me lasse jamais de rien. Quand on y pense, c'est pas trop dérangeant, au contraire. Mais le soucis vient du fait que, justement, je hais les changements, je préfère le connu plutôt que la nouveauté. Je ne me sens rassurée que dans ce que je connais par cœur. J'ai un mal fou à m'adapter aux nouvelles situations, à me sentir à l'aise avec de nouvelles personnes, ou des gens que je ne vois pas très souvent. Parce que oui, ça concerne aussi mes relations avec le monde qui m'entoure. Jow est barricadée dans une coquille et a toujours du mal à s'en extraire. Timidité, difficultés sociales, je sais pas trop comment appeler ça, mais bon, c'est déjà bien de mettre des mots dessus.
Un jour peut-être, ça changera. Même si je ne compte pas trop là dessus. C'est déjà dur d'appréhender les changements extérieurs, alors si ça me concerne en plus, faut pas rêver!
Sinon, rassure-moi, ne te sens-tu pas un tant soit peu concerné par cet article ? Silyouplé?
A jeudi!